Bonjour EC,
Les « grands esprits » ne nous ont pas indiqué quelle était la valeur de ce fameux ratio de solvabilité de la Commune de Caromb.
Comme je suis curieux de nature, je suis allé voir sur Internet (je suis comme vous, ignorant en tout).
J’ai trouvé ceci (on se couchera moins bêtes ce soir) :
Je vous donne le PDF, pour une lecture complète.
Le ratio de solvabilité se calcule donc de la manière suivante :
Epargne brute / Recettes de fonctionnement
Je vous remets les tableaux (déjà publiés) des années 2020 à 2022, pour vous laisser faire les calculs que vous voudrez.
Pour l’année 2022, l’épargne brute, ou Capacité d’Autofinancement Brute (CAF), était de 169 k€.
Les recettes (produits) de fonctionnement s’élevaient à 3 239 k€.
En 2022, le ratio de solvabilité de la Commune de Caromb était de :
169 / 3 239 = 0,052 soit 5,2%
Ce ratio de solvabilité étant inférieur à 8% (voir ci-avant), il était donc faible en 2022.
Nous attendons avec impatience les chiffres de 2023 et de 2024.
Je vous laisse le soin d’effectuer les autres calculs, si ça vous intéresse.
Bon, pour le reste (les salaires, la poste, …), svp, ne rabâchez pas tout le temps (à la longue, ça devient pénible à lire – pensez-y).
Tout le monde a bien compris, mêmes les nouvelles et nouveaux sur ce site.
A bientôt.
Bcdlt.
Bonjour RACHTON,
Pas « il suffit », mais « il aurait suffit ».
Pour rappel, l’étiquette politique de la liste « Caromb d’abord » était : « SANS ».
Image d’illustration (pour égayer un peu ce monde de brutes avec des jolies couleurs).
Mise au point :
Vin : désolé si je vous fais de la peine, mais je ne bois pas de vin (je n’aime pas ça – comme tout ce qui est fermenté d’ailleurs - véridique).
A contrario, tout liquide translucide bien distillé me sied, avec modération.
Messe : encore désolé, mais j’ai fait depuis bien longtemps le distinguo entre foi (et non foie) et religion (l’opium du peuple de ce bon vieux Mao).
Et, je vous rassure, si je candidate pour 2026, ce n’est pas pour autant que vous me verrez lustrer les bancs de l’église (comme certaines / certains l’ont fait par le passé – suivez mon regard).
Et je n’ai pas acheté de panier en osier pour le promener dans Caromb (seuls les « initiés » comprendront – les autres se feront expliquer).
Allez, pour me remonter le moral je pense aux oliviers dans le Paty et aux tonnes d’olives à la picholine qui iront très bien avec certaines liqueurs anisées, certes parisiennes, mais encore Françaises.
Et puis, pour terminer, pensez à celui qui a dit « Paris vaut bien une messe », et comment il a fini.
Courageux, mais pas téméraire.
A bientôt.
Bcdlt.
Bonjour HM,
Mes plus plates excuses : je croyais que vous étiez… un homme.
Beau CV.
Tenez, vue votre brillante carrière, je vous réserve les commentaires du prochain JDP.
Et je transmets votre proposition de service à M. MORARD.
Ça devrait améliorer la ligne éditoriale de leur page Facebook.
Au plaisir de vous lire.
Bcdlt.
Bonjour CURINO et bienvenue au Club Des Râleuses et Râleurs Du Sud-Est du Jenamichelnistan (CDRERDSEDJ),
Quel beau CV.
Petite question perso : votre passage à Sciences Po, du temps de « Richie » ?
Avec de telles compétences, Caromb a besoin de vous (là, je redeviens sérieux).
Une « liste » est en préparation : si ça vous tente.
Il y aura du boulot pour redresser la barre.
Bon, j’ai un petit coup d’avance par rapport à la concurrence : je ne vous connais pas, mais j’ai votre e-mail.
A très bientôt.
Bcdlt.
Bonjour FRAMBOISE,
Tenez, pour aller dans votre sens (merci Xavier) : un article du Monde.
« Dans la plupart des pays comparables, anglo-saxons, scandinaves mais aussi en Italie par exemple, les comptes des collectivités sont certifiés. Autrement dit, leur sincérité et leur fiabilité sont vérifiées chaque année par des organisations externes compétentes. Ce n’est pas le cas en France, et cette situation contrevient à la fois à la Constitution (article 47.2) et à la directive européenne du 8 novembre 2011 sur les exigences applicables aux cadres budgétaires des États membres. »
Je suggère une idée à l’opposition : vous pourriez demander un contrôle budgétaire par la Cour Régionale des Comptes, notre Commune présentant une situation financière particulièrement dégradée.
Les principaux indicateurs financiers, destinés à apprécier la capacité à dégager une épargne, sont structurellement insuffisants. Ainsi, la capacité d’autofinancement dégagée par la section de fonctionnement, ne permettrait plus de couvrir l’intégralité du remboursement de la dette (rappel : 70 000 € de « déficit » de la section de fonctionnement en décembre 2023).
Ces constats résultent notamment du niveau très élevé des dépenses, en particulier celles qui concernent le personnel qui représentent 62 % du total des dépenses de fonctionnement en 2022, taux qui laisse peu de marges de manœuvre.
Le « bond » du budget des travaux du La Poste pourrait également faire l’objet d’un contrôle par la CRC.
Le « détail » du financement des travaux du barrage pourrait faire l’objet d’un audit (la Commune pourra ou ne pourra pas les financer ?).
Ce ne sont pas les exemples qui manquent.
23 responsables : c’est là que le bât blesse !
Bcdlt.